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(Creseveur)

| 26 janvier '13

                                                                                d'infos
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Chômage: l'heure de vérité pour le pouvoir. (lire)

Goodyear Amiens: le nouvel écueil de François Hollande sur les terres du chômage. La situation est critique à l'usine Goodyear d'Amiens (1250 salariés) puisqu'elle pourrait fermer d'ici la fin 2014.  Alors que les chiffres du chômage de décembre 2012 sont particulièrement rudes, François Hollande n'a pas fini de se battre contre l'angoisse première des français : le chômage. (lire)

Force de loi: il est temps désormais que le débat parlementaire au sens strict vienne rappeler, devant l’opinion publique, aux autodéclarés gardiens d’un supposé ordre naturel, tous ces clergés, catholique comme psychanalytique, que c’est, encore heureux, aux élus de la nation qu’il revient de dire la loi. (lire)
Aide à la procréation: le calendrier impossible de l'exécutif. (lire)

Non-cumul des mandats: les sénateurs PS défient Hollande. Le clash était programmé, il ne manquait plus qu'une date. Ce sera «le 27 février ou le 6 mars, vraisemblablement dès le 27 février», selon Alain Vidalies, le ministre des Relations avec le Parlement. Ce jour-là, le Conseil des ministres examinera le texte réformant le cumul des mandats pour une adoption définitive par le Parlement espérée «avant le 15 septembre». (lire)

«Django Unchained»: Tarantino règle son compte à l’esclavage, autre réalité hideuse dont l’Amérique n’a pas fini de payer le prix. Fidèle à sa méthode, il refait donc l’histoire, inventant un esclave (Django-Jamie Foxx) affranchi par un dentiste allemand dépositaire de la culture classique européenne (Christoph Waltz) qui, de surcroît, lui donne un sérieux coup de main pour récupérer sa jeune et jolie femme. Et Tarantino ne se prive pas de punir cette honte nationale dans un flamboyant finale, au mépris réjouissant de toute réalité historique. Jubilatoire. (lire)



Blancanieves de Pablo Berger: le parti pris est celui d’une énième relecture du conte des Grimm. Sauf qu’ici Blanche-Neige ne se contente pas de passer la serpillière dans la chaumière de ces feignasses de sept nains. Le film est au mieux de lui-même quand il appuie sur le champignon hallucinogène. Apparition façon camé dans le ciel de «mon papa, ce héros», seringue de poison en piqué dans une pomme maléfique... (lire)