| 8 mai '13

Le retour (littéraire) de S. Royal:  l’ouvrage dresse le portrait de 15 personnalités, chez qui l’ex-candidate socialiste à l’Élysée dit puiser l’inspiration. Mais Ségolène Royal a aussi rédigé un livre politique. C’est d’ailleurs à l’heure où l’on parle de remaniement que la présidente de la Région Poitou-Charentes, en bonne maitrise politique, revient sur le devant de la scène. (lire)

En mai, François Hollande fait ce qu’il lui plaît de ses ministres. (lire)






«Une vie simple»: dans l'inversion des rapports de servitude sur laquelle s’édifie le récit, la trame autobiographique se tresse à la fois d’une investigation quasi documentaire de la façon dont la vieillissante Hongkong dispose de ses anciens non sans en tirer un profitable business, d’une interrogation sensible de ce qui peut bien faire la matière d’un lien entre deux telles solitudes étrangères à la frénésie de la ville alentours, et d’une fiction des derniers jours aux pudiques manières mélos - si pudiques et pleines de retenue en fait, qu’en dépit de la lente déchéance physique d’Ah Tao, le film fait figure d’anti-Amour. (lire)

| 7 mai '13

Pluie d'étoiles provenant de la comète de Halley, à Fuerteventura, Canaries. Carlos De Saa / efe

Ségolène Royal: "Il n'y a que de bons investissements pour la BPI, pas du business! Faire du business sous-entendrait qu'on ferait le tri entre ce qui est juteux et ce qui ne l'est pas". La vice-présidente de la Banque publique d'investissement revient sur le rôle qu'elle souhaite voir jouer à cet établissement. Tout en décochant quelques flèches en direction de l'administration et des banquiers. (lire)


Hollande : les paris de l'an II. Englué dans une situation difficile et confronté à une impopularité record, le président a décidé de modifier son tempo pour essayer de regagner un peu d'air. (lire)

L’élève Hollande et les bijoux de famille. (lire)

Quand le patron de France Télécom voulait des départs "par la fenêtre ou par la porte". (lire)

Philippines : rites en transit. La grande variété des objets, de leurs fonctions, matières (du bois à l’or), appartenance stylistique et époque (de - 3 500 ans avant J.-C. jusqu’au début du XX^e siècle) témoigne de la diversité artistique de ce peuplement austronésien. Ainsi réuni, l’ensemble rappelle que les nombreux groupes ethnolinguistiques composant cet immense archipel (quelque 7 000 îles sur plus de 1 800 kilomètres, du nord au sud) se sont toujours nourris d’échanges. Pour un résultat très spécifique, certainement sans équivalent dans le domaine des arts premiers. (lire)

Philippines, archipel des échanges. Musée du Quai-Branly, 37, quai Branly, 75007. Jusqu’au 14 juillet.  www.quaibranly.fr