25 septembre 2013
Roue
(Aurel/Le Monde/ Lire)
Budget 2014 : la pomme de la discorde. (lire)
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| 25 septembre '13
Oktoberfest à Munich, Allemagne. Felix Hoerhager / efe
Etranger: la France est l’un des pays d’Europe à accueillir le moins de Roms et cette population reste stable depuis des années. Peu de Roms «s’intègrent», dénonce Manuel Valls, l’homme qui «veut dire la vérité aux Français». Et alors ? «La vérité», c’est de dire qu’il n’y a pas de «menace» rom. «La vérité», pour la gauche, c’est de défendre les exclus et non d’attaquer les populations les plus vulnérables. (lire)
Mamère: "J'ai décidé de quitter EELV car le parti est prisonnier de ses clans". (lire)
Cohn-Bendit "partage le ras-le-bol" de Mamère, Mélenchon dit "bienvenue au club". (lire)
Laurent Berger, Pierre Gattaz: ces deux-là vont-ils s'entendre? Le Medef rechigne à entrer dans un cycle de négociations, privant la CFDT de son arme favorite: discuter, plutôt que manifester. (lire)
Les consommateurs abonnés aux mauvais coûts ! L’UFC-Que Choisir appelle les pouvoirs publics et la Commission de Régulation de l'Energie à prendre les dispositions qui s'imposent pour limiter la surtension tarifaire qui guette. (lire)
Syrie: Sur CNN, François Hollande plaide pour la fermeté. Il précise toutefois que la France «ne veut pas s'embarquer dans n'importe quelle aventure». (lire)
«Comme un animal sale»: Nadejda Tolokonnikova, du groupe Pussy Riot, a été condamnée en août 2012 à deux ans de camp pour avoir dansé dans la grande cathédrale de Moscou. Pour dénoncer une menace de mort proférée par le directeur adjoint du camp, Tolokonnikova a rédigé une lettre ouverte dans laquelle elle raconte ses conditions de détention à l’IK-14, colonie pénitentiaire en Mordovie. (lire)
Blue Jasmine: sous ses dehors carnassiers de fable contemporaine, Blue Jasmine recèle une méditation dont l’idée même de résilience serait à la fois l’objet et l’enjeu : jusqu’où sa protagoniste peut-elle sombrer sans perdre tout à fait la raison, jusqu’où l’empathie du spectateur peut-elle l’accompagner dans sa folie ? Si prendre part à l’expérience en vaut la peine, Woody Allen le doit pour l’essentiel à l’étincelant génie de son actrice. Une Cate Blanchett dont le port noueux, la gestuelle inquiète et le regard dément jamais tout à fait focalisé sur rien parviennent à percer sans cesse l’amer limon de ce film qu’elle transfigure de sa présence enfiévrée. (lire)
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