26 mars 2014
Résistance
Le président chinois en visite en France
Publié dans HUMOUR, L'EDITO | Lien permanent | Commentaires (0)
| 26 mars '14
Le pavillon japonais à l'exposition universelle de Hanovre en 2000: œuvre de Shigeru Ban, architecte japonais prix Pritzker 2014 pour l'élégance de son travail, un sens aigu de l'innovation et des préoccupations sociales et qui "a fait de notre monde un endroit plus beau". (photo: Hiroyuki Hirai)
Langage: ce ne sont pas des «doutes ou des inquiétudes» qu’ont exprimées les électeurs et les abstentionnistes du premier tour pour reprendre la pathétique formule de Jean-Marc Ayrault. C’est le rejet d’une méthode de gouvernance et d’une politique. (lire)
La faute du Parti Socialiste: le parti s'est coupé de sa base électorale sans provoquer un phénomène de vases communiquant. Il se vide de son électorat comme un corps blessé se vide de son sang. (lire)
Pacte de responsabilité: le nouveau scénario choc de l'Elysée. Effet des élections municipales? Une solution plus coûteuse mais moins dangereuse politiquement. (lire)
PS-Manif pour tous: mariage d’intérêt à Châteauroux. Pour tenter de ravir Châteauroux (Indre) au candidat UMP arrivé en tête au premier tour, le Parti socialiste local est prêt à tout. (lire)
Ces villes que le PS peut perdre au second tour. (lire)
Les cumulards dans le temps plébiscités par les électeurs. (lire)
Remaniement
| Pourquoi le remaniement est un piège politique pour François Hollande: le président souhaite réagir aux mauvais résultats de son camp aux municipales, mais sa marge de manœuvre est réduite. (lire)
| "Valls est un chasseur à l’affût": le premier tour est encore dans toutes les têtes socialistes. Le gouvernement est à l'arrêt, le Premier ministre est sous pression. (lire)
| Des collaborateurs de ministres ont reçu un mail intitulé "Votre départ". "Procédure habituelle", affirme le ministère de l'Économie où la réduction du nombre de ministres semble pourtant à l'ordre du jour. (lire)
«Aimer, boire et chanter»: «Une oscillation systématique entre spleen et babil», analysait déjà Robert Benayoun en 1986 à propos de la Vie est un roman, qui a poursuivi Resnais dans toute sa période tardive, très souvent dans l’axe d’un sentiment d’insatisfaction face à une existence qui fait peser les plus lourdes conséquences sur les choix apparemment les plus anodins. Ce pessimisme rigolo de Resnais aura été l’une de ses plus curieuses élaborations et le clou ultime enfoncé ici d’une main très sûre. (lire)
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (0)