> La salle de presse: 10.09

Le complexe paysager de Trang An au Viet Nam dont les grottes les plus en altitude ont révélé les traces d’une activité humaine qui remontent à 30.000 ans environ. photo / unesco

> Nicolas Hulot appelle à une transition énergique: l'écologiste formule plusieurs propositions pour l'améliorer. Et faire de la France un leader dans ce domaine. (lire)

> Vigie: l’affaire Thévenoud est un désastre. Deux leçons peuvent être tirées de cette histoire. La Haute Autorité pour la transparence de la vie politique voulue par François Hollande a joué son rôle de vigie, et l’exécutif a tranché sans attendre. Mais l’efficacité de cette loi nouvelle n’a rien empêché. (lire)

> Le Pacte de responsabilité bute toujours sur la question des contreparties: au parti socialiste, comme dans les syndicats, c’est la question qui fâche. (lire)

> Dérapage du déficit public: aucun des objectifs réaffirmés en juin lors de la loi de finances rectificative ne sera tenu. (lire)

> Municipales à Marseille: les comptes de campagne du PS rejetés? Conséquence le non-remboursement par l'Etat de 500 000 euros représentant la moitié des frais de campagne engagés par la liste PS-EELV et une inéligibilité pouvant aller jusqu'à trois ans. (lire)

> Gens du voyage: les communes pèchent toujours sur les aires d'accueil. Quatorze ans après l'entrée en vigueur de la loi Besson, un tiers des aires d'accueil promises aux gens du voyage manquent encore à l'appel. (lire)



> Ebola: l'existence du Liberia "gravement menacée". Le virus "se propage comme un feu de forêt, dévorant tout sur son passage", s'alarme le ministre libérien de la Défense. (lire)

> Nous pourrions nourrir deux fois la population mondiale, et pourtant... Olivier De Schutter, ex-rapporteur spécial de l'ONU, dénonce l'inertie du système agricole mondial. Pour lui, le droit à l'alimentation est encore une fiction. (lire)

> L'institutrice: s’amusant à poser sa caméra à des endroits incongrus, tantôt à hauteur d’enfants, tantôt subjective, mais toujours au plus proche des corps, Nadav Lapid recourt à une très large gamme de procédés cinématographiques pour souligner son propos. Et plus que le questionnement sur ce que représente le fait d’être un poète de nos jours, le film renvoie aux contradictions qui existent dans une société réglementée où une pensée divergente ne peut être que répréhensible. (lire)

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