13 novembre 2015
> Mérite
Publié dans HUMOUR, L'EDITO | Lien permanent | Commentaires (0)
> La salle de presse: 13.11
Régionales
> Franchise très troublante: laisser entendre, avant le premier tour, que l’on a déjà perdu n’est pas la meilleure façon de mobiliser. Envoyer le message qu’il faudrait soutenir Christian Estrosi dans le Sud ou Xavier Bertrand dans le Nord n’encourage pas beaucoup à voter PS au premier tour. En voulant se sauver, la fébrilité de M. Valls pourrait bien accélérer son enlisement dans les sables mouvants de la défaite. (lire)
> «Ce n’était ni à lui ni le moment de le faire»: la colère est unanime chez les socialistes du Nord-Pas-de-Calais, après les propos du Premier ministre sur une possible fusion PS-LR entre les deux tours des régionales. (lire)
> Pour Noël Mamère, Manuel Valls veut détruire le Parti socialiste: " il ferait mieux de se taire, plutôt que d'avancer un agenda qui est le sien, mais qui n'est pas celui de la France." (lire)
>Trois scénarios de second tour: les socialistes pensaient en avoir fini. Voilà trois semaines qu’ils se débattent pour repousser cette question au soir du 6 décembre. (lire)
> Rétention des enfants: la promesse oubliée de François Hollande. En mai 2012, François Hollande pas encore président s'était engagé à interdire la rétention des enfants. (lire)
> Une nouvelle bombe fiscale pourrait exploser en 2016. (lire)
> Léger mieux pour la croissance au 3e trimestre. (lire)
> Les socialistes en ont "ras-le-bol" de Bercy: un député regrette que les parlementaires n'aient pas les moyens de connaître l'impact financier de leurs lois. (lire)
> Sept collines, le Tage et la joie de vivre! Lisbonne, ce n’est pas juste la capitale du Portugal depuis le 12ème siècle, mais aussi une ville où l’Histoire est partout, même si le terrible tremblement de terre de 1755 a détruit la moitié de la cité. Lisbonne, la ville escarpée aux sept collines, c’est une ambiance particulière qui doit beaucoup à ses 2 millions d’habitants, une atmosphère que l’on ressent à tous les coins de rue. L’accueil est tout sourire et les années de crise commencent à s’estomper. Les Lisboètes ont retroussé les manches et ça se voit! (lire)
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (1)