17 décembre 2015
> Illuminations_
Illuminations de Noël à Londres. Anthony Devlin / ap / sipa
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> La salle de presse: 17.12_
> S’engager autrement en politique! Du renouvellement de la classe politique, nos élus en parlent souvent. Ils font même parfois appel « aux jeunes », à la « société civile », pour un apport circonstancié d’idées neuves... Mais lorsqu’il s’agit de laisser sa place, de soutenir des profils plus divers issus des réalités qui font le quotidien de notre pays, on entend le vent souffler et les initiatives se font plus rares. (lire)
> Sombre nuit pour la presse et la gauche: dans la nuit de mardi à mercredi, la France se dotait d’une arme anti-paradis fiscaux. A 1 h 30 du matin, le gouvernement s’y opposait, orchestrant un nouveau vote. À plusieurs députés qui ne cachent pas leur agacement, le ministre Christian Eckert réplique : "C’est moi qui décide, a priori". Souvenez-vous : "Mon adversaire, c’est la finance !", scandait Hollande pendant sa campagne électorale...(lire)
> Le couac du gouvernement: la France ne sera pas le fer de lance de la lutte contre l’évasion-optmisation fiscale. Une belle occasion manquée et aussi la sempiternelle séquence qui risque d’alimenter les déçus de la politique pour qui le gouvernement se paie de mots mais se passe d’actions marquées à gauche. (lire)
> Après les régionales, Hollande renonce définitivement à la proportionnelle: un rétropédalage annoncé. Ce renoncement, prévisible au vu des multiples reculades du gouvernement sur le sujet depuis le début du quinquennat, François Hollande s'y est résolu après avoir fait ses calculs. (lire)
> Les batailles perdues de François Hollande: Ouf. C’est en substance ce qu’a dû se dire François Hollande le 13 décembre en observant les résultats des élections régionales. Pas sûr qu’il reste soulagé bien longtemps. (lire)
> Déchéance de nationalité: l'exécutif va-t-il faire marche arrière? Depuis un mois, nombreux sont ceux à gauche qui ont pris leurs distances, voire dénoncé cet éventuel élargissement. (lire)
> Ceci n'est pas un portrait: une exposition totalement inédite sur les figures de fantaisie en Europe du XVIe au XVIIIe siècle au Musée des Augustins de Toulouse. Centrées sur les émotions et les passions humaines, elles offrent au regard une intimité au plus près du sujet et abordent des thèmes universels, étonnamment modernes, comme l'apparence des sentiments, l'ambivalence des êtres humains ou la question du genre. Loin de l'art du portrait contraint par la commande ou la mode, cette exposition est un véritable éloge de la liberté, de l'invention et de la virtuosité en peinture. (lire)
Jusqu'au au 6 mars 2016. Le site du Musée des Augustins ici
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