25 janvier 2016
> Code_
Publié dans HUMOUR, L'EDITO | Lien permanent | Commentaires (1)
> La salle de presse: 25.01_
Au Soudan, une femme transporte de l'eau. reuters
> Le non-cumul des mandats, un si vieux débat... Les débats engagés il y a plus de 30 ans restent d’actualité. Et contrairement à ce qu’on espérait alors, la décentralisation n’a pas réduit mais bel et bien considérablement augmenté le nombre de mandats par élu. (lire)
> Trois quarts des Français plébiscitent le non-cumul des mandats dans le temps. (lire)
> Présidentielle: ces mouvements citoyens qui veulent s'inviter en 2017. Ces derniers mois, les mouvements qui entendent replacer le citoyen au cœur du jeu politique se sont multipliés. Leur objectif ? Recréer de l'intérêt pour la chose publique dans un contexte d'abstention et de crise de confiance. (lire)
> Une «levée de fonds citoyenne» pour une primaire à gauche: «1000 citoyennes et citoyens, de tous les départements, de toutes origines de tous engagements» ont décidé de «prendre en charge l’organisation de cette primaire». «Nous avons entendu l’appel à une primaire à gauche. Allons-y !» (lire)
> Code du travail : durée légale, CDI... «61 principes indiscutables.» (lire)
> Mise au point sur les heures supplémentaires: les règles en cours. (lire)
> Anne Hidalgo tacle Emmanuel Macron sur les 35 heures: le récent plaidoyer du patron de Bercy sur la nécessité d'une sortie concertée des 35 heures au moyen notamment de l'abrogation de la majoration salariale des heures supplémentaires ne convainc pas Hidalgo. Pas plus que ne l'avait convaincue l'extension de l'ouverture des magasins le dimanche. (lire)
> Proche-Orient: le choix incontournable de la Paix. Vingt ans après l’assassinat de l'ex-Premier ministre israélien Yitzhak Rabin, plusieurs associations demandent aux dirigeants occidentaux de «s’impliquer en urgence dans ce dossier avec la même énergie qu’ils ont déployée pour aboutir à un accord sur le nucléaire iranien». (lire)
> Lucien Clergue: les premiers albums. Admirablement mis en scène, l'hommage rendu à l'artiste par les commissaires — François Hébel et le couturier Christian Lacroix — ne s'attarde pas dans la noirceur. On assiste peu à peu à une renaissance, à la destinée stupéfiante d'un homme élevé par une mère seule, épicière d'Arles, et qui dès ses 19 ans séduit Pablo Picasso à la sortie des arènes, en lui mettant sous le nez ses clichés de débutant. Le Maître le présente à Jean Cocteau, qui le convainc de ne pas céder aux sirènes parisiennes. Le poète avait raison. (lire)
Grand Palais jusqu'au 15 Février 2016
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (0)