> La salle de presse: 20.09_

> Les élus PS invités à signer un appel de soutien à Hollande: les fidèles du président ont compris qu’il était urgent de rappeler la majorité à la loyauté due au Président comme au parti. Pour les hollandais, il s’agit de se compter.  (lire)

> Cinq ministres à la recherche d’une piste d'atterrissage électoral et s’imaginer un futur de députée. (lire)

> Calais: « Le débat public est d’une médiocrité extraordinaire ». Pierre Henry, directeur général de France Terre d’asile, réagit aux polémiques politiques déclenchées par l’annonce de l’ouverture de centres d’accueil pour les migrants de la « jungle ». (lire)



> Petit Pays: ce sont d’abord des sensations, que le texte exalte discrètement, une lumière aveuglante sur le lac Tanganyika ou quelques notes d’une chanson. Le chaos pourtant finit par balayer l’insouciance, l’Histoire s’impose, la confusion politique au Burundi après l’assassinat du premier président élu démocratiquement, le génocide des Tutsi, au Rwanda voisin, en 1994. Jeune compositeur et interprète de rap, Gaël Faye s’impose ainsi d’emblée, magnifiquement, avec ce premier roman, largement autobiographique. (lire)

Petit pays | Editions Grasset - 18 €

> La salle de presse: 19.09_

 > Un PS toujours plus à huis clos: après les conseils nationaux, la direction du Parti socialiste ferme l'accès de ses ateliers organisés dans le cadre de ses «universités de l'engagement». Impossible d'observer les débats qui animent le parti au pouvoir. On ne saura donc pas quel est l’état du débat au sein du parti au pouvoir sur les questions d’éducation, de logement, sur l’organisation de la primaire par exemple. (lire)

La primaire de gauche, un casse-tête financier pour le PS: s'ils veulent un financement du PS, les candidats doivent par exemple constituer un microparti, seule structure autorisée à collecter les dons - jusqu'à 7.500 euros par personne. Répondre à gauche avec François Hollande, est toujours actif. Au cas où… (lire)

> Présidentielle 2017: à gauche, beaucoup n'y croient déjà plus. Entre une gauche éclatée façon puzzle, une primaire du PS mal engagée et le cas Macron, rien ne va plus. (lire)

> Un nombre inédit de départs dans les cabinets ministériels et à l’Élysée: certes, la période préélectorale est toujours propice à des reclassements – ou à des promotions pour services rendus – avant une éventuelle alternance. Néanmoins, les départs enregistrés au cours de l’été excèdent amplement les habituelles reconversions. (lire)

> Migrants: l’ONU entre attention et attentisme. Les Nations unies organisent pour la première fois ce lundi un sommet spécial. Mais peu de décisions concrètes devraient améliorer le sort des 65,3 millions de déplacés et réfugiés. (lire)



> Droit au logement, « #OnAttendQuoi ? »: la Fondation Abbé Pierre lance une nouvelle campagne contre le mal-logement. Jusqu'aux élections présidentielles et législatives, la Fondation propose une plate-forme pour alerter les citoyens et les politiques sur la précarité. (lire)


> Autoroutes: l’État rechigne à publier les contrats des concessions autoroutières. En juillet, un militant écologiste de Grenoble remportait une victoire au tribunal administratif de Paris : ce dernier enjoignait l’État de publier les contrats de concessions autoroutières, signés en avril 2015. (lire)

> Loin de chez nous: une série sur la guerre loin des stéréotypes du genre, qui provoque et questionne par l'humour et l'émotion. Parce que au final, « tous les personnages devront lâcher prise, accepter la situation, s'accepter et accepter l'autre ». (lire)

Loin de chez nous, Saison 1. Lundi 20h50 France 4