12 juin 2017
> En tête_
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> La salle de presse: 12.06_
→Vers la poursuite d'une crise de régime: l’essentiel du personnel politique des dix, quinze ou trente dernières années est congédié sans ménagement. Une autre organisation de la vie politique s’installe. (lire)
→Vers une chambre couleur Macron: la plus stupéfiante éruption de l’histoire électorale française, à la force dévastatrice, tient à une triple conjonction. (lire)
→Législatives 2017... l'hécatombe. (lire)
→Les résultats du premier tour des législatives, largement favorables au mouvement d’Emmanuel Macron, impressionnent la presse étrangère. (lire)
→Mais qui a tué le Parti socialiste? Nombre d'adhérents en chute libre, défaites lors de toutes les élections locales intermédiaires, débats d'idées au point mort, divisions internes… Le Parti socialiste sort exsangue de ses cinq années aux affaires. (lire)
→Le Parti socialiste a-t-il encore un avenir? (lire)
→Gauche, année 0: Vision du monde, projet, stratégie, la page est blanche ou presque. (lire)
→Un rude coup financier annonçant des années de vaches maigres. (lire)
→Vernon Subutex 3: une nouvelle fois, c’est un chœur discordant, incarné, véhément, qu’orchestre magistralement V. Despentes. Le faible, le marginal, l’impur. L’autre. Le constat est d’une âpreté inouïe, dans laquelle pourtant ne se dissout pas l’humanisme tenace et rageur qu’on sent pulser dans chaque page, chaque phrase de Despentes – et qui évoque cette qualité qu’Henry James enviait aux romans de Balzac : une incroyable et palpitante « quantité de vie ». (lire)
Ed. Grasset, 19,90 €.
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