26 mars 2018
> La salle de presse_ 26.03_
→Ça barde chez les jeunes socialistes: dans cette affaire, le plus embarrassé, c’est Olivier Faure. Quasiment élu mais pas encore officiellement Premier secrétaire, Olivier Faure a sur les bras sa première querelle de famille. Au PS, les générations passent mais les bonnes vieilles mauvaises habitudes ont la peau dure. (lire)
→Tabac, alcool, nutrition… les timides avancées du plan de prévention sur la santé risquent de laisser sur leur faim les acteurs du secteur. (lire)
→Militants éjectés et échanges ultra-verrouillés: LREM en pleine dérive autoritaire. En Marche, et sans discuter! (lire)
→Macron, ses dîners secrets du lundi: des invités triés sur le volet, interdiction absolue d'en parler. Le premier qui parle est mort. Pire, il ne sera plus invité. (lire)
→Pour une Europe plus sociale, plus écolo, plus solidaire qui s’appuie sur des valeurs et pas seulement sur l’économie. (lire)
→Pauvres de nous: en suivant des vies et des âges différents, Claire Lajeunie brosse le tableau sensible et nuancé d’un phénomène multifactoriel trop souvent traité de manière caricaturale. La beauté de ce film tient en partie à la relation très humaine, empathique et respectueuse, que la réalisatrice semble avoir instaurée au fil des mois avec ceux qu’elle suit dans une intimité délicate à dévoiler. (lire)
France 5 - Mercredi 28 mars à 20h55
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21 mars 2018
> La salle de presse_ 21.03_
→Pôle emploi: ce qui se cache derrière la future offre raisonnable "personnalisée". Au cœur du futur nouveau dispositif de contrôle des chômeurs, les critères de "l'offre raisonnable d'emploi" seront déterminés en "co-construction" entre le demandeur et son conseiller Pôle emploi, promet le gouvernement. Ce qui promet de fonctionner à double tranchant. (lire)
→Nouvel imbroglio sur la réforme de la politique familiale: la fin de l'universalité n'étant pas inscrite dans le programme électoral d'Emmanuel Macron, il avait été jugé plus judicieux de laisser la majorité parlementaire s'emparer d'un sujet si sensible. (lire)
→Yémen: la France et ses entreprises violent vraisemblablement le traité sur le commerce des armes et s’expose à des poursuites. Les textes internationaux ne prévoient pas que la lutte contre le terrorisme permette d’ignorer le droit humanitaire. (lire)
→Contre la destruction d’une «civilisation» sociale: l’offensive contre l’État social s’intensifie. Sous les couleurs hier de la vraie droite de Sarkozy, de la fausse gauche de Hollande, elle remet en cause, aujourd’hui avec Macron, les droits conquis au travail, à la santé, à la retraite, dénoncés comme autant de «privilèges». (lire)
→Les Bonnes Manières: avec son parfum d’enfance, le titre évoque la comtesse de Ségur et ses récits enjoués, entre émotions et réflexions sur l’éducation… On est ailleurs, pourtant ! Un discours réfléchi, politique, se développe dans ce film à l’originalité constante, aux images chatoyantes, qui nous entraîne vers le fantastique sans jamais perdre de vue la réalité brésilienne, où les croyances en des phénomènes extraordinaires sont encore vives. Il est même question d’éducation, dans la seconde partie. Comment apprendre à affronter la vie : ce beau sujet, Juliana Rojas et Marco Dutra l’abordent intensément dans ce film inventif, audacieux et, heureusement, jamais sage. (lire)
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