19 décembre 2012
Nocturnes
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| 19 décembre '12
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La Journée en un clin d'oeil
Réparation d'un poste électrique, Beijing, Chine. Petar Kujundzic/reuters
24H Info
Brûlures: en se prêtant à l’un des rituels obligés des présidents français fraîchement élus - le voyage à Alger -, François Hollande ranime l’espoir d’en finir avec le ressentiment. (lire)
Retraites: sans doute une nouvelle réforme, confirme Moscovici. Comme il s'y était engagé pendant la campagne présidentielle,F. Hollande souhaitait lors d'une deuxième étape discuter d'une « réforme globale » avec les partenaires sociaux. (lire)
Retraites. Les trois pistes qui ne satisfont personne. (lire)
Réforme bancaire: une version édulcorée du projet initial? Le projet s’annonce sensiblement moins contraignant que les déclarations de campagne du candidat Hollande. Et même en-dessous du texte voté en Grande-Bretagne qui s'appliquera en 2017. (lire)
Les mensonges ça suffit! Que ce soit en politique, en économie, en consommation et même en culture, les contrevérités s'énoncent sans pudeur et sans scrupule. (lire)
PS
Mariage pour tous: les leçons de nos voisins. Par Sylviane Alaux, Brigitte Bourguignon, Colette Capdevielle, Philip Cordery, Arnaud Leroy, Audrey Linkenheld, députés. (lire)
Gauche+
Hollande, Ayrault, Montebourg... Cohn-Bendit règle ses comptes: l'hiver arrive dans deux jours, Daniel Cohn-Bendit habille pour cette saison Montebourg, Ayrault, le gouvernement en général et Hollande. (lire)
Monde
La Chine à la conquête silencieuse du Bangladesh: "les Chinois développent une véritable stratégie en anticipant sur les trente prochaines années. Ils vendent leur pays, leurs produits, leurs services. Pendant que les Occidentaux arpentent les dîners à Dhaka, les Chinois sont au travail." (lire)
Terre/Point de Vue
Ils nous gonflent avec leur gaz de schiste. La planète se vide de ses ressources mais ce gaz nous sauverait de notre crise conjoncturelle. Conjoncturelle, elle l'est puisqu'elle ne concerne qu'une décennie, peut-être moins. (lire)
Cinéma
«Main dans la main»: sous les airs enlevés et gaguesques de la lecture littérale de l’amour fusion, c’est une noirceur qui habite Main dans la main. Un engluement triste, mais pas non plus désespéré, irrigué d’ordinaires (mais authentiques) observations, d’innombrables remarques : aimer, c’est grosso modo toujours très compliqué. A deux, c’est pas commode ; à trois, bonjour les embrouilles. (lire)
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