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(Lasserpe/Urtikan)

| 12 mars '13

                                  laselection d'infos

Avion A-380 de la compagnie Qantas au dessus du centre de Sydney. Daniel Munoz / reuters

Le conclave de Dijon: on peut moquer la pompe du conclave, le ballet pourpre des cardinaux place Saint-Pierre, la République laïque ne fait rien d’autre : offrir une image pieuse – celle du président accessible au peuple – à l’adoration des fidèles. (lire)

Formation des enseignants : le timing serré de la loi Peillon. Le projet de loi sur l'école rétablit une formation pour les enseignants. Mais des inquiétudes se font jour sur sa mise en oeuvre effective pour la rentrée 2013. (lire)

Comment les Espagnols meurent à crédit pour leurs banques: le gouvernement refuse de modifier une loi sur les hypothèques obsolète et inhumaine. Celle-ci permet au créancier, les banques, de gagner sur tous les tableaux et de s’enrichir sur la misère. Les mouvements citoyens s’organisent pour freiner les expulsions et changer la loi. (lire)

Hydrogène, gaz départ: propre, en quantité illimitée… Le h2 pourrait être la solution miracle pour les piles des voitures électriques. S’il peine à convaincre les constructeurs, il s’apprête en revanche à entrer dans les maisons. (lire)



La dame de Rangoun, documentaire sur l'espoir birman: seule Manon Loizeau, documentariste des trémulations du monde, pouvait obtenir l'impossible. Un entretien exclusif avec Aung San Suu Kyi, l'incarnation de l'espoir birman. Avant, Loizeau aura filmé sa campagne électorale, sa victoire le 1er avril dernier, la foule qui suit ses pas et la joie qui fleurit sur les visages, malgré la misère. (lire)

Aung San Suu Kyi - Un rêve birman. Mardi 12 mars, 22 h 40, France 2

Cesaria Evora, de vive voix:  dans le livret de Mae Carinhosa, une photo montre les pieds de Cesaria Evora sur un tapis de pétales de roses. Des pieds lourds de femme du peuple, aux ongles néanmoins coquettement vernis de grenat. Des pieds sur terre, qui ont mené la plus célèbre citoyenne du Cap-Vert autour du monde, avec un détachement, une distance ironique, une absence d’emphase dont témoigne une nouvelle fois ce disque publié quinze mois après sa mort. (lire)