> La salle de presse: 19.05

> Le pont aux ânes scolaire:  le gouvernement ligoté dans sa religion austéritaire avance une réforme qui mine l'unicité des programmes, réduit la place d'enseignements essentiels et s'envisage sans les moyens accrus qui permettraient d'échapper à la seule reproduction des élites. La majorité des enseignants savent la crise du collège, ils la vivent ! (lire)

> Bonnet d'âne: François Hollande et le gouvernement défendent au diapason le collège du changement alors que les parents, des intellectuels, des professeurs expérimentés s’interrogent sur la pertinence de ce nivellement orchestré au nom d’une vague idéologie d’un passé qui ne passe pas. (lire)

> Collèges, programmes: entendre la protestation,  écouter ceux qui dénoncent la destruction de ce qui marchait bien – classes bilingues, classes européennes – et ceux qui redoutent de voir raboter les horaires de cours et les programmes. (lire)

> Bizutage:  ce mardi est jour de bizutage. Les profs descendent dans la rue. Pour Najat Vallaud-Belkacem, il s’agit d’une sorte de baptême du feu. (lire)

> Congrès du PS: les enjeux du vote de jeudi. Interrogations sur le nombre de votants, un scrutin transparent? (lire)

> Ce à quoi se sont engagés les ministres ou ne se sentent pas toujours engagés ou restent ambigus. (lire)

> Ça balance pas mal au Parti Socialiste… aux régionales, "on recase les parlementaires qui ont peur de perdre en 2017, les battus des départementales, on prend les mêmes et on recommence !". (lire)

> Grèce: suspense autour d'un possible accord.  Un document attribué à la Commission Junker, était jugé plutôt favorable à Athènes. Les créanciers de la Grèce proposeraient ainsi de débloquer d'ici à juin 5 milliards d'euros. (lire)

> Au Burundi, «un terreau fertile pour passer à un scénario de conflit armé»: la vitesse avec laquelle les gens quittent le pays est révélatrice des peurs et des tensions face à la tentation du Président de passer en force. (lire)

> La Loi du marché: Vincent Lindon y joue Thierry qui accepte un poste de vigile dans un grand magasin. Son boulot consiste à surveiller et à punir. Avec "La Loi du marché", Stéphane Brizé livre une œuvre sans fard sur la brutalité du monde du travail dont le réalisme est accentué par le fait que tous les acteurs, à part Vincent Lindon, sont des non-professionnels, jouant généralement l'emploi qu'ils exercent dans la vie.. (lire)

> Hésitation

Aurel/Le Monde