24 mai 2016
> La salle de presse: 24.05_
> Macron veut… aller plus loin que la loi El Khomri: autant de propositions qui ne manqueront sans doute pas de rassembler la gauche, à moins d'un an de l'élection présidentielle! (lire)
> La commission des finances critique les coupes budgétaires dans la recherche: les conseils scientifiques de cinq organismes de recherche (CNRS, INRA, Inserm, INED, IRD) se sont également indignés de ce projet de décret. (lire)
> La COP 21 joue les prolongations à Bonn et pourquoi c'est important: premières retrouvailles pour les délégués des 195 Etats signataires de la convention climat de l'ONU, qui discutent des modalités d'application de l'accord de Paris. (lire)
> Orientation, fonctionnement, dépendance au PS: EELV doit changer. Alors que Nuit debout met en cause le fonctionnement actuel des institutions politiques et défendant un sursaut démocratique, une page se tourne également pour l'écologie, mettent en avant Serge Coronado et Michèle Rivasi. Membres d'EELV, ils estiment que leur parti doit se réformer, et vite. (lire)
> A Mayotte, l’État accusé de fermer les yeux face aux expulsions punitives d'étrangers: malgré les condamnations du gouvernement, les opérations montées par des collectifs d'habitants se poursuivent. La place de la République, à Mamoudzou, fait aujourd'hui office de camp de réfugiés. (lire)
> La Dangereuse: dans ce récit autobiographique âpre, impétueux, comme sciemment et fièrement rugueux — à l'image de ce surnom qu'elle s'est donné, Hatar, « la dangereuse » —, Loubna Abidar déroule le fil de son existence depuis l'origine. Bien sûr, son étendard est féministe, mais Loubna Abidar ne théorise pas. C'est de son expérience personnelle de l'oppression et de la violence patriarcale dans la société marocaine que se nourrissent l'énergie, la colère, l'endurance dont témoignent ces pages. Plus qu'une simple autobiographie, La Dangereuse est un livre de combat. (lire)
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23 mai 2016
> La salle de presse: 23.05_
> L'Autriche se dote de justesse d'un président vert: longtemps favori, le nouveau président autrichien revient de loin. (lire)
> Loi Travail: vers une nouvelle semaine de colère. La mobilisation continue. La contestation devrait se durcir un peu plus, avec une nouvelle manifestation prévue jeudi, des raffineries et des ports bloqués. (lire)
> La politique, une passion contrariée: malgré un niveau de défiance à l’égard de la classe politique, qui est devenu « gigantesque », l’intérêt pour la politique, lui, ne faiblit pas. (lire)
> Pour Najat Vallaud-Belkacem: si François Hollande tente de convaincre les Français que "ça va mieux", c'est parce qu'ils sont un peu ses enfants, finalement…(lire)
> Primaire de gauche: laissez les morts enterrer les morts. Depuis six mois, beaucoup de gens s’étaient mobilisés pour la faire vivre, pour la rendre crédible et souhaitable mais tous ces gens, ces petites mains, ces Français de gauche qui avaient conscience de la nécessité absolue d’un grand débat citoyen, auront au final été balayés sur l’autel des ambitions de deux hommes. (lire)
> Le PS veut limiter le nombre de mandats des élus: ce lundi soir, en bureau national, le Parti socialiste va faire 50 propositions sur les institutions, notamment un référendum pour limiter le cumul dans le temps. (lire)
> Législatives partielles: le PS se maintient à Strasbourg mais n'est pas parvenu à passer au second tour à Nice, où il fait moins bien que le Front de Gauche. Les deux élections législatives partielles ont été marquées par un taux d'abstention proche des 80%. (lire)
> Seydou Keita au Grand Palais: l'exposition riche de 300 tirages constitue un exact témoignage de la société en Afrique de l'Ouest, de 1948 à 1962. Cette année-là, Seydou Keïta, recruté par Modibo Keïta, le premier président de la république du Mali, ferme son studio. Il faudra attendre 1994 pour que la France le découvre. Et avec lui, « l'ère d'une photographie africaine qui, tout en puisant dans ses racines et dans son histoire, affirma sa modernité ». (lire)
Seydou Keita - Grand Palais - Jusqu'au 11 juillet 2016
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