G20

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| 5 septembre '13

Touriste dans la galerie de la Stoa d'Attale, située dans l'agora d'Athènes. John Kolesidis / reuters

Ordre: à la veille du G20, Obama et Hollande peuvent mesurer leur isolement dans la crise syrienne. Aucun autre pays à l’exception de la lointaine Australie n’engagera des hommes et des armes pour «punir» Assad. Cette double solitude est la conséquence des interventions d’un Occident qui prétendait devenir le justicier du monde. (lire)

Syrie: le G20 aligne ses divisions. Alors que les vingt plus grandes puissances économiques se réunissent en Russie, les Etats-Unis et la France peinent à élargir le camp des interventionnistes. (lire)


Hollande échappera-t-il au vote? Nombre de  parlementaires -et pas seulement à droite- réclament un vote en cas d'intervention. (lire)



La rupture fiscale de François Hollande, obligé de dire stop, et, comme il le reconnaît, "plus tôt" que prévu. Si bien que son gouvernement est agité par de curieuses contorsions.(lire)

Cache-cache à Fukushima: depuis quelques semaines, et les annonces quasi quotidiennes de nouvelles fuites d’eau contaminée et autres incidents, devant lesquels Tepco, l’opérateur de la centrale de Fukushima Daiichi, confirme son impuissance, la communication gouvernementale est plus nourrie. Mais, intérêts économiques obligent, guère plus transparente. (lire)

«Ilo ilo», rayon gamin: l’aperçu que donne Ilo Ilo sur la cité-Etat souveraine de Singapour (et son modèle de «démocratie autoritaire» où le libéralisme s’applique à l’économie mais pas à la politique…) n’a pas besoin d’être frontalement critique pour être efficace : la façon dont sont regardés les immigrés, la dureté des rapports d’argent, la peur de l’opinion publique donnent au film sa toile de fond un peu amère et mélancolique. Le refus d’un happy end est également le signe d’une rigueur morale qui honore le metteur en scène. (lire)