06 février 2014
C'est parti
(Bar)
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| 6 février '14
Mékong: les barques de pêcheurs viennent se présenter au visiteur des deux côtés de ses rives, mais aussi de ses canaux et arroyos. photo: Robert Kassous.
La gauche “bordel”: beaucoup de candidats aux municipales font désormais leurs comptes, après la capitulation du gouvernement face à l'hydre réactionnaire : « j’enlève l’électorat populaire, je retire les bobos et les laïcs ! Il me reste… ». Bilan à gauche: du grand n'importe quoi ! (lire)
Comment Matignon veut relancer le dossier miné de l'intégration: il n'y aurait pas de « front anti-Valls », au sein du gouvernement, mais un débat musclé pour une politique « cohérente » d'intégration et de lutte contre les discriminations. (lire)
Les socialistes doivent défendre le droit à la PMA pour toutes les femmes: Par Bernard Roman (député socialiste du Nord, ancien président de la Commission des lois) (lire)
Cannabis: "Le gouvernement occulte les problèmes sociétaux" pour Esther Benbassa. Alors que le gouvernement recule sur la loi famille, la sénatrice écologiste Esther Benbassa ouvre un débat sur la dépénalisation du cannabis. Pour "ne plus fermer les yeux", elle est prête à défier le gouvernement. (lire)
Baronnies: c’est le cumul temporel qui crée les baronnies locales et leurs dérives clientélistes, et empêche le renouvellement des générations et des idées. Une autre loi interdisant une telle pratique politique est désormais illusoire mais il appartient aux hommes politiques et aux partis de trouver le courage de définir de nouvelles règles. En attendant, les électeurs ont toujours la possibilité de sanctionner les cumulards. (lire)
Scène de lynchage à Bangui, après une cérémonie militaire officielle: les Banguissois ordinaires, non armés, qui espèrent depuis le 5décembre qu'il soit mis fin aux violence, attendent de voir comment la présidente Catherine Samba-Panza et ces soldats français et africains auxquels elle a rendu hommage vont réagir à l'affront. (lire)
Dans "Parrains de cités", le journaliste et écrivain Jérôme Pierrat raconte comment de petits caïds sont devenus des cadors du trafic. Un vrai business - qui générerait pas loin de 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires par an en France, et où l'on parle sans fard réduction des coûts, augmentation des marges et concurrence déloyale. (lire)
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