21 octobre 2014
> La salle de presse: 21.10
Femmes pêchant aux environs de Gauhati, en Inde. Anupam Nath / ap
> Ségolène Royal: « Je ne céderai pas ». La loi sur la transition énergétique a été adoptée en première lecture à l'Assemblée nationale avec une large majorité. Une majorité si large qu'elle comprend les députés écologistes et même certains élus de l'opposition. (lire)
> Et si Hollande perdait son parti? Aubry affirme ne pas postuler à diriger à nouveau le PS, ni être candidate à la présidentielle, mais d'autres y pensent très fort pour elle, et l'expérience a montré qu'elle cédait souvent à la pression de ses amis pour assouvir des ambitions qu'elle s'interdit de dévoiler. (lire)
> La France, mauvaise élève du lobbying: 2,7 sur 10. C’est la note que vient d’obtenir la France dans son premier contrôle en lobbying mené par Transparency international qui milite pour plus de transparence et d’intégrité dans la vie publique. Les « représentants d’intérêts » - terme préféré à « lobbies » - continuent en France d’agir dans l’ombre. (lire)
> Bataille rangée des députés PS sur Twitter à propos du budget: régler ses comptes en jetant une phrase assassine sur Twitter. Quelques députés socialistes se sont laissés aller à cet exercice en pleine séance du projet de loi de finances 2015 à l’Assemblée. (lire)
> Notre pote Christophe de Margerie (de Total): rôle de l’extraction pétrolière dans le réchauffement climatique, efforts (ou pas) de Total dans la transition énergétique, et autres questions secondaires, il en sera question une autre fois. (lire)
> France et Allemagne se relancent avec un mini-pacte limité mais concret, qui doit permettre d’ajouter un zeste de convergence entre les deux pays. (lire)
> Comment le Nigeria a vaincu Ebola: l'OMS a déclaré lundi la fin officielle de l'épidémie dans le pays, où vingt personnes ont été touchées. (lire)
> René Burri (1933-2014), œil tout terrain: loin d’être un stéréotype de grand reporter, René Burri essayait de comprendre et de donner à comprendre, cherchant plus que la bonne distance, ou le meilleur cadrage : cette petite faille de la réalité qui resterait dans l’éternité, en étant fidèle au grain de l’humanité. Il avait ce don : il savait enrichir la vie. (lire)
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20 octobre 2014
> La salle de presse: 20.10
Dans un centre de distribution de boissons à Djakarta, Indonésie. Jurnasyanto Sukarno / efe
> Ségolène Royal a raison: les autoroutes sont chères et on ne sait pas vraiment pourquoi. La gestion des sociétés d’autoroutes est devenue opaque et l’État est trop laxiste dans ses contrôles pour le respect des clauses contractuelles. (lire)
> Mots creux, expressions usées jusqu’à la corde, quel politique fait aujourd’hui dresser l’oreille? Ségolène Royal, lors de la campagne de 2007 avait réussi le rajeunissement de l’expression politique. Elle fut la première à parler des « petites retraites » et ces deux mots montraient qu’elle savait ce que percevoir très peu, à l’issue d’une vie de travail, signifiait de privation et même d’humiliation. (lire)
> > Pour Aubry, Hollande a (presque) tout faux. (lire)
>> La valse-hésitation de Martine Aubry: dimanche, elle déclarait la guerre au gouvernement. Aujourd'hui, la maire de Lille s'est montrée plus conciliante. Mais où vas-tu, Martine ? (lire)
> L’école dans le collimateur des mouvements intégristes: depuis quelques mois, un vent mauvais souffle sur la société, avec l’école en première ligne. Entre l’agression violente de la place Vendôme contre Paul McCarthy et l’actualité éducative de ces derniers jours, le rapprochement n’est pas fortuit: dans les deux cas, l’intolérance pointe son triste visage. (lire)
> Bygmalion, la synthèse de la police: "Personne ne veut en prendre la responsabilité." (lire)
> ETA: de la terreur à la paix. Il y a 3 ans, le 20 octobre 2011, ETA annonçait qu'elle déposait les armes. (lire)
> Le mystère François Villon entre dans La Pléiade: on ne sait pas à quoi il ressemblait, on ne sait pas quand il est mort, il n’a jamais ordonné ses écrits et a-t-il écrit tous ceux qui lui sont attribués? La publication des « œuvres complètes » de François Villon dans La Pléiade est à la fois logique et déconcertante. Logique, car de tous les poètes en langue française, Villon est le premier champion, « le premier poète à la moderne ». Déconcertante, car tout Villon, l’homme comme l’œuvre déjouent plusieurs règles habituelles à la collection et conduisent à une édition atypique. (lire)
François Villon, « Œuvres complètes », édition bilingue, Gallimard collection la Pléiade, 992p, 42€ jusqu'au 31 janvier, ensuite 49,50€.
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