23 mars 2016
> Prise de conscience_
Soulcié / Télérama
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> La salle de presse: 23.03_
Au cœur du Guatemala, le lac Atitlán, le plus beau lac du monde. (lire)
> Mauvaise passe à gauche: la politique du gouvernement distillant des offres qui prennent à contrepied les promesses faites en 2012 à la jeunesse et aux électeurs qui avaient permis la victoire de François Hollande n’y est pas pour rien. Sur tous les fronts : égalité des chances, justice sociale, solidarité, sécurité, le bilan n’est pas bon. Et c’est un euphémisme. (lire)
> En France, des services débordés face à la menace: depuis le début de l’année 2015, 288 interpellations pour des faits liés au terrorisme ont été effectuées. Elles ont donné lieu à 151 mises en examen et 117 individus ont été écroués. A cela, il faut ajouter la masse de jihadistes de retour des zones de guerre. (lire)
> Après les attentats de Bruxelles, Sapin évoque "la naïveté" de la Belgique et provoque un tollé généralisé: il aurait mieux fait de ne pas sortir du cadre de son ministère des Finances. En évoquant, le jour même des attentats, une supposée "naïveté" de nos voisins, Michel Sapin s'est attiré les foudres des classes politiques française et belge. (lire)
> Déchéance et attentats: Valls et Hollande ont voulu instrumentaliser la peur au mépris des principes de la gauche. C'est raté. (lire)
> «Dans les collèges et lycées, les chefs d'établissement n'en peuvent plus»: le syndicat majoritaire des chefs d'établissement, dénonce «l'entassement» de dysfonctionnements du fait d'une accumulation d'injonctions, parfois contradictoires, du ministère de l’Éducation. (lire)
> États-Unis: Flint, miroir grossissant des ratés du "toujours moins d’État". La cure d'austérité radicale infligée à la ville a donné lieu à l'un des pires scandales sanitaires de ces dernières années aux États-Unis. (lire)
> Kaili Blues: road-movie, aventure familiale et sentimentale où surgissent le documentaire et le fantastique, Kaili Blues ne cesse de surprendre, par ce qui s’y raconte comme par la manière dont cela est conté. En douceur –une douceur qui n’esquive nullement les duretés de la réalité– il se fraie un chemin unique vers une idée du cinéma ambitieuse et émouvante, jusqu’à la très belle et infiniment ouverte séquence finale, qui a nouveau remet en jeu tout ce qu’un récit peut avoir de programmé. (lire)
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