26 juin 2017
> La salle de presse: 26.06_
→Macron à l’Élysée: Prolongator plutôt que Jupiter. Jusque-là, la continuité l'emporte sur la rupture. Macron prolonge l'état d'urgence, la loi El Khomri, la loi sur la transparence, le CICE... Et goûte l'impuissance au niveau européen. (lire)
→Sortie de route au gouvernement au sujet des pesticides tueurs d'abeilles: le ministre de l’Agriculture Stéphane Travert et celui de la Transition écologique et solidaire se sont livrés à un débat par médias interposés. Pas tout à fait dans le respect des trois règles énoncées par le Président à ses ministres : solidarité gouvernementale, collégialité, confidentialité. (lire)
→Réforme du code du travail: le "contrat de projet" existe déjà... en partie mais ne rencontre pas un grand succès auprès des patrons. (lire)
→Ce Smic de François Ruffin qui va embarrasser ses camarades députés Insoumis: les députés du mouvement de Jean-Luc Mélenchon vont devoir expliquer pourquoi ils ne se payeront pas au Smic. La faute à leur collègue François Ruffin, qui a pris cet engagement inédit pendant sa campagne. (lire)
→Comment Benoît Hamon veut se réinventer: candidat malheureux à la présidentielle, Benoît Hamon, qui n'a pas non plus été réélu député, lance dans quelques jours le "Mouvement du 1er juillet". (lire)
→Les diplômés de grandes écoles surreprésentés à l’Assemblée nationale: la rentrée parlementaire pourrait avoir des airs de réunions d’anciens élèves. (lire)
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23 juin 2017
> La salle de presse: 23.06_
→Macron et Collomb, le double discours du Calaisis: nous avons donc désormais en même temps un président de la République française qui appelle «à la plus grande humanité» dans la gestion des migrants parce que «c’est notre devoir» et un ministre de l’Intérieur, un très proche du chef de l’État, qui demande aux associations d’aide aux réfugiés d’aller se faire voir ailleurs. (lire)
→Ils veulent tous réinventer le Parti socialiste: Anne Hidalgo, Najat Vallaud-Belkacem, Benoît Hamon et des proches d'Arnaud Montebourg mènent des projets chacun de leur côté. La lutte d'influence ne fait que commencer. (lire)
→Dans le Nord, les socialistes sur un champ de ruines: "les électeurs n’ont pas changé mais c’est le personnel politique qui a évolué : il ne sait plus parler au peuple". (lire)
→Olivier Faure: "A l'Assemblée, on ne connaît plus personne". (lire)
→A l’Assemblée, un Parti socialiste amaigri mais toujours aussi divisé: les débats promettent d’être houleux, samedi 24 juin, au conseil national du Parti socialiste. La direction du parti va proposer de se prononcer contre le vote de confiance au gouvernement d’Édouard Philippe, le 4 juillet, une position prise mardi lors d’un bureau national. Mais l’unité de façade pourrait voler en éclats sous la pression « des forces centripètes », selon un élu. (lire)
→Réforme du code du travail: le flou fait la loi. Au-delà de la concertation affichée, le gouvernement cultive l'ambiguïté. (lire)
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