22 juin 2017
> La salle de presse: 22.06_
→Réforme du Code du travail: le projet de loi d'habilitation comporterait 9 articles dont l'un proposant l'instauration d'un CDI de projet. (lire)
→Les trois illusions des législatives: le verdict des urnes marqué par une abstention record sous la Ve République, agit comme un miroir déformant. (lire)
→A l'Assemblée nationale, le Parti socialiste se cherche une utilité: coincés entre La République en marche et la France insoumise, les députés PS doivent trouver "leur voie" pour "éclairer l'avenir". (lire)
→Pour le chef de l’État, un effet d’aubaine: de l’art de sortir par le haut des turbulences. A première vue, l’implosion prématurée du gouvernement Philippe I, entre exfiltration et démissions sous pression des affaires de quatre poids lourds de la macronie, relevait de la grosse tuile pour l’Élysée. (lire)
→Terrorisme: la loi de Macron est-elle plus restrictive que l'état d'urgence? Objectif : sortir de l'état d'urgence, et inclure une partie du dispositif dans la loi ordinaire. Ce qui ne va pas sans poser de problème. (lire)
→Eau, nourriture, accès à l’asile… Ce que le Défenseur des droits demande pour Calais: humaniser la zone de non-droit qu’est devenu le Calaisis pour les migrants. (lire)
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21 juin 2017
> La salle de presse: 21.06_
→Le PS entre officiellement dans l’opposition: la direction du parti doit proposer au Conseil national (le « parlement » de la formation), qui se réunira samedi 24 juin à Paris, de ne pas voter la confiance au gouvernement. (lire)
→ Les communistes auront un groupe indépendant de La France Insoumise à l'Assemblée mais... (lire)
→Le signal d'une crise politique inédite: quatre ministres démissionnaires en trois jours! La crise provoquée par leur départ frappe la présidence Macron dès ses premières semaines, repose la question complexe des rapports entre justice et politique et ampute immédiatement le gouvernement d'une des composantes de la majorité. (lire)
→Coup de semonce pour Emmanuel Macron: voilà le président de la République et le premier ministre méchamment rattrapés par la « vieille politique » et ses petits arrangements. (lire)
→Dans Le grand méchant Renard, la campagne à l'aquarelle, radieuse et veloutée, regorge de purs moments burlesques, jouant aussi bien de la malice du dessin que de celle de la bande-son (les voix des comédiens, même les plus « poussins » d'entre eux, sont toutes formidables). Beaucoup de films d'animation prétendent s'adresser au jeune public autant qu'à leurs parents. Ce grand renard désopilant y parvient comme personne. (lire)
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