16 novembre 2012
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| 16 novembre '12
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La Journée en un clin d'oeil
La rivière Urumea à Saint Sébastien où la température atteint les 20 degrés. Juan Herrero / efe
24H Info
Res publica corsa: la récente flambée de violence, vécue comme une fatalité, a été l’occasion de réentendre ce que sont les problèmes de l’île : une forte pénétration de la criminalité dans l’économie locale ; la porosité du phénomène avec les élus et les élites, sous forme de pression ou de collusion ; le sentiment d’injustice ressenti par la majorité de la population tenue à l’écart du banquet de la rente immobilière et des marchés juteux, et sommée de se taire ; le terreau fertile, enfin, offert à cette dérive hors du lit de la démocratie par la grande précarité. (lire)
Thibault adopte la ligne dure: le secrétaire général, assuré de sa succession, pèse de tout son poids sur la négociation reprise hier entre le patronat et les syndicats sur la sécurisation de l'emploi. (lire)
Réforme des rythmes scolaires: Vincent Peillon est-il coincé? Les négociations sur le retour de la semaine à quatre jours et demi ont repris cette semaine. Coincé entre les syndicats et les collectivités, qui dénoncent un coût supplémentaire de 600 millions d'euros par an, Vincent Peillon joue ses six premiers mois rue de Grenelle sur un dossier particulièrement délicat. (lire)
Europe de l’énergie. Jean-Louis Bianco. (lire)
Région(s)
Agriculture en Poitou-Charentes: ce que S. Royal et Le Foll vont annoncer ce vendredi. (lire)
Monde
Pilier de défense: opération «Plomb durci», deuxième épisode. Dans la bande de Gaza, Israël et le Hamas se livrent une bataille que personne ne peut gagner. (lire)
La Côte d'ivoire replonge dans la crise politique: que se passe-t-il à Abidjan ? Rien de très bon si l’on en juge par la décision brutale du président Alassane Ouattara de dissoudre son gouvernement. (lire)
Cinéma
«Augustine», psy causes: Alice Winocour, 36 ans, signe avec Augustine un premier film qui revient sur ce moment fascinant de la psychiatrie au seuil de la psychanalyse (Freud sera brièvement l’élève de Charcot et son traducteur en allemand) qui se noue dans la relation entre le grand praticien, mondialement célèbre, détenteur de la première chaire de «maladie du système nerveux» (créée en 1882 à Paris), et ses patientes convulsives, toujours plus nombreuses et pâmées, atteintes de diverses paralysies, insensibles à la douleur en certaines parties de leur corps mais sans lésion ou pathologie organique. (lire)
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