18 novembre 2012
| 18 novembre '12
Démonstration de force des opposants à Notre-Dame-des-Landes: après un comptage "rigoureux", le correspondant du "Monde" sur place estime qu'au moins 20 000 à 30 000 personnes se sont rassemblées dans la bocage nantais. Un des manifestants juge "scandaleux de se lancer dans un tel projet lorsque tout le monde doit se serrer la ceinture". (lire & voir)
Que pense Ségolène Royal du gouvernement Hollande? C'est la question que nombre de ségolénistes doivent aujourd'hui se poser, François Hollande étant au pouvoir depuis maintenant 6 mois. (lire)
« En Corse, la violence a changé, l’Etat doit changer sa boussole »: pour Xavier Crettiez, professeur de sciences politiques à l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines et spécialiste des nationalismes en Europe, on assiste à une banalisation de la criminalité sur l’île qui s’explique à la fois par l’affaiblissement des groupes nationalistes et par l’habitude de violence qu’ils ont laissée. Ce que l’Etat, focalisé pendant quarante ans sur les mouvements indépendantiste, peine à appréhender. (lire)
L’Espagne appelle à l’aide le continent latino-américain: mais l’Amérique latine a-t-elle encore besoin de l’Espagne? Le Brésil, devenu la sixième puissance économique mondiale, peut se passer de son intermédiation. Tout comme le Chili, dont le PIB par habitant est proche de la moyenne européenne et le Pérou qui croît à des rythmes soutenus. (lire)
Israël-Hamas: la nouvelle équation. La nouvelle opération israélienne contre la bande de Gaza, baptisée "Pilier de défense", a débuté comme un parfait remake de la précédente, nommée "Plomb durci". Comme en décembre 2008, c'est par une opération d'intoxication, incitant le Hamas à se découvrir, qu'Israël a ouvert les hostilités. (lire)
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (5)
17 novembre 2012
| 17 novembre '12
Manœuvres: trois jours après le début des frappes de l’armée israélienne contre les activistes du Hamas dans la bande de Gaza, les tenants de la politique du pire sont à la manœuvre dans chacun des deux camps, comme si leurs calculs les plus cyniques se conjuguaient une fois encore. (lire)
La bataille de "Notre-Dame-des-Colères": Notre-Dame-des-Landes est devenu un symbole, le réceptacle de toutes les colères contre le gouvernement de François Hollande, dont les six premiers mois n'ont pas satisfait. Les politiques seront donc aussi de la partie, à l'instar de Jean-Luc Mélenchon, leader du Parti de gauche, Jean-Luc Bennahmias (Modem), le sénateur écologiste Jean-Vincent Placé, Pascal Durand, secrétaire national d'Europe-Ecologie-Les-Verts et beaucoup d'autres élus. (lire)
Manuel Valls sort les flingues: son ambition met Hollande en danger. Il ne faudrait pas qu'il oublie que celui qui lui a donné le pouvoir, c'est François Hollande. C'est le président de la République. Le ministre de l'Intérieur va très loin, très vite. Qu'il prenne garde à ne pas se brûler les ailes. (lire)
(Chimulus)
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (5)