> Elèves

Jeunes élèves dans une madrasa d'Islamabad, au Pakistan.
Emilio Morenatti / ap

> La salle de presse: 27.03

> UMP, PS, FN… Y a-t-il assez de place pour trois grands partis en France? Ce paysage électoral où trois partis dépassent chacun les 20%, distançant tous les autres (Front de gauche, EELV, etc.), est devenu la norme. Peut-il perdurer ? Ou l'un des trois va-t-il finir par disparaître? (lire)

> Le PS veut renouer le dialogue avec le reste de la gauche au lendemain des départementales. (lire)

> C. Duflot: "Si on a un accord politique, on participe aux responsabilités". (lire)

> Pourquoi Valls devrait arrêter le cigare:  la gauche n'a pas perdu avec les honneurs le premier tour des départementales. Elle a perdu avec une logique qui confine à l'absurdité. (lire)

> Prière de ne pas déranger Valls, il est en campagne. (lire)

> La porte blindée, terrible symbole de nos besoins de sécurité: l'acte du copilote de l'A320 n’engage pas seulement un homme, il nous engage tous, et tout ce que nous avons concédé collectivement depuis le 11 septembre 2001, et que nous nous apprêtons à concéder à nouveau, en France, avec la loi sur le renseignement. (lire)

> Loi sur le renseignement: entre interrogations et mobilisation. Les inquiétudes portent, pour une bonne part, sur la définition des missions du renseignement : un champ «immense et amalgamant». (lire)



> Consultation à 25 euros: les généralistes passent en force. (lire)

> Guerre au Yémen: Riyad passe à l’attaque. Dans la triste guerre qui s’annonce, on peut s’attendre au pire, sous l’œil d’Al-Qaeda et de l’État islamique qui, eux aussi, attendent de se jeter dans la mêlée. (lire)

 

> Six choses à savoir sur Pierre Bonnard: chroniqueur lumineux du bonheur bourgeois? C'est une image plus complexe que propose le musée d'Orsay dans une rétrospective, jusqu'au 19 juillet. Dans ces grandes commandes, Bonnard s'impose sans ambiguïté ni trouble comme le maître du bonheur de vivre ainsi que la critique l'avait d'abord célébré. Reste que ce n'est plus forcément ce qui plaît aujourd'hui. Mais plutôt, sous le flamboiement des jaunes, des mauves, des bleus et des verts, les drames secrets et les déchirures profondes. (lire)

Pierre Bonnard-Peindre l'Arcadie au musée d'Orsay jusqu'au 19 juillet.