> La salle de presse: 19.04

Camarón de la Isla & Paco de Lucía: Me olvidaste te olvidé (1974)

> François Hollande peut-il sauver son quinquennat et être réélu en 2017? Bien plus que les trois ans passés à l’Élysée, ce qui angoisse l’entourage de François Hollande, ce sont les deux ans qui restent. (lire)

> Pourquoi il faut s’intéresser aux élections en Finlande: l’emploi et la crise économique ont été les principaux thèmes de la campagne, qui a été rythmée par des annonces de plans sociaux. Le mouvement eurosceptique et populiste des Vrais Finlandais, en alliance avec les centristes en tête dans les sondages, pourrait parvenir au pouvoir. (lire)

> Une auberge en Gascogne: la Chalosse recèle la fine fleur du terroir gascon. On y découvre encore les monuments gastronomiques cachés au fond de la campagne, où la table reste un vecteur de civilisation. L'adresse qui vaut le voyage. (lire)

 

> La salle de presse: 18.04

L'Hermione avant son départ pour les États-Unis /  Xavier Léoty

> Antiracisme: un plan Valls qui ne fait pas l’union. Prise de conscience salutaire ou énième plan gadget pour lutter contre le racisme? Le président de la LDH redoute que le plan ne se «fracasse sur la propre politique du gouvernement». Et de citer les discours politiques ambigus sur les Roms, «l’hystérie totale autour du voile», et «l’obsession du contrôle de l’islam», ainsi que les rapports «tendus» de la police avec la population. (lire)

> Pourquoi tu tousses? (lire)

> Six questions sur les élections régionales: si les frontières des 13 nouvelles régions sont connues, on débat encore de leurs compétences, de certaines capitales régionales, de la date choisie pour les élections. (lire)




> "On a transformé la crise américaine en crise européenne de la dette publique": Thomas Piketty tance les politiques fiscales européennes qu'il juge responsables du chômage, notamment celui des jeunes, principale inégalité dans le Vieux Continent. (lire)

> Taxi Téhéran: Ours d’or à Berlin, Jafar Panahi compose avec un art de l’esquive, brouillant les pistes et rivalisant de ruse avec la complicité de fidèles réunis pour toutes les étapes de la confection du film dans le secret et l’anonymat. Ce manuel façon «Dissidence, mode d’emploi» est aussi l’occasion d’un petit précis de mise en scène, où le cinéaste désobéissant et visible à l’écran fixe le cadre. (lire)