16 avril 2015
> Tulipes
Champs de tulipes en fleurs à Keukenhof, près de Lisse aux Pays-Bas. Peter Dejong /ap / sipa
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> La salle depresse: 16.04
> La loi Macron remise en cause par le PS? La motion de Jean-Christophe Cambadélis, signée par Martine Aubry, se dit "contre une nouvelle extension du travail du dimanche". Quid de la loi Macron ? (lire)
> L'exécutif a-t-il trouvé la martingale pour accélérer la reprise? Rien n'est moins sûr. Face à un dilemme - relancer à la fois l'économie et rééquilibrer les finances publiques -, le gouvernement a un double langage terriblement anxiogène qui renforce l'incertitude des acteurs économiques. (lire)
> Ayrault «inquiet» de la réforme des collèges: l’ex-Premier ministre fait allusion à la disparition des classes bilangues, que la ministre a inscrite dans sa réforme tout comme celle des sections européennes, au motif que ces classes nourrissent l’élitisme et creusent les inégalités au collège. (lire)
> Prison: « Une minorité du PS a fait gagner les durs de l’UMP » . Les concessions à faire en termes de libertés individuelles et de respect de la vie privée pour renforcer la sécurité transcendent les clivages politiques traditionnels, ce qui n’est jamais bon signe pour le gouvernement et l’Élysée. (lire)
> Radio France : fin de la grève après 28 jours de conflit. Mais de nombreuses questions restent posées. (lire)
> De la carotte au bâton: comment lutter contre l'abstention? (lire)
> «Près de 900 personnes sont mortes naufragées depuis janvier»: l’Organisation internationale des migrations regrette une catastrophe humanitaire qui aurait pu être évitée avec un minimum de coopération. (lire)
> Petrobras: le trésorier du parti de Dilma Roussef arrêté pour corruption. João Vaccari est le responsable politique le plus proche de la présidence ayant été visé par l'enquête sur Petrobras qui a provoqué une crise sans précédent au plus haut niveau de l'État et fait plonger la cote de popularité de la présidente. (lire)
> La Fondation Vuitton à pied d’œuvres: la liste donne le tournis tant ces pièces emblématiques sont d'ordinaire parcimonieusement prêtées. Le Cri, de Munch, La Danse, de Matisse, L'homme qui marche, de Giacometti. Au total, soixante œuvres empruntées à une quarantaine d'institutions. Le projet? Dessiner par le biais d'œuvres historiques une histoire de la modernité, en interrogeant la question de l'icône. (lire)
« Les Clés d'une passion », Fondation Louis Vuitton, 8 avenue du Mahatma Gandhi, Paris 16e. Jusqu'au 6 juillet.
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