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06 septembre 2010

Tempo

Nous nous aimons beaucoup ! Rarement rentrée socialiste aura proposé une telle image d’unité. Les socialistes sont apparus unis face à Sarkozy. Unis face aux politiques sociales et économiques injustes du gouvernement. Unis pour poser les bases d’un projet et avancer vers le processus des primaires qui désignera la (le) candidat(e) de la gauche à l’élection présidentielle.

Mais cette image d’unité n’est pas sortie comme par enchantement d'un chapeau de magicien. En cette rentrée, c’est grâce à Ségolène Royal qu’une telle déferlante de fraternité socialiste a pu voir le jour. C’est elle qui a provoqué ces retrouvailles, en acceptant de tourner la page de Reims. C’est elle qui donne le La et qui fixe le tempo.

Durant l’été, avant La Rochelle, Ségolène Royal avait, souvent seule, contesté la politique sécuritaire ultra-droitière d’un Sarkozy qui souhaitait détourner l’attention des affaires et des échecs de sa politique. Pendant La Rochelle, elle a fait entendre les particularités de ses réflexions et de ses propositions sur un certain nombre de thèmes comme la sécurité. Depuis La Rochelle, elle continue à approfondir à chacune de ses interventions dans les médias le lien particulier qui la lie aux Français et particulièrement aux jeunes et aux habitants des villes et des quartiers populaires.

En cette rentrée où la gauche est audible dans ses critiques et arrive enfin à esquisser une petite musique où l’alternance redevient envisageable, Ségolène Royal apparait plus que jamais comme la chef d’orchestre porteuse d’une nouvelle espérance, de nouveaux désirs d’avenir.

Rémi / Militants eag avec S. Royal

03 juillet 2010

Gratuité

Le scandale de la gratuité des lycées français à l’étranger

Soucieux de s’attirer les bonnes grâces des Français de l’étranger, le candidat Nicolas Sarkozy s’était engagé à rendre gratuite la scolarité des enfants inscrits dans les lycées français à l’étranger.
Un cadeau entré en vigueur à la rentrée 2007 sans aucun plafonnement de revenus.

Cette mesure bénéficie aux enfants de salariés, dont la scolarité était en général prise en charge par les entreprises, mais pas aux enfants de fonctionnaires ni aux élèves étrangers.

Cadeaux aux plus aisés, cadeau aux entreprises. Merci Nicolas.

Toutes tendances confondues nous avons demandé à l’Assemblée Nationale que cette mesure soit supprimée, ou, au moins suspendue.

Jean-Louis Bianco