09 avril 2014
Effet pervers
(MYKAÏA)
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| 9 avril '14
Une femme ajuste son sari en se dirigeant vers l'isoloir, dans un bureau de vote de Majuli, sur le Brahmapoutre dans l’état de l’Assam. Inde. Adnan Abidi/reuters
Déficits publics: Manuel Valls desserre l'étau européen. L'objectif de réduction du déficit public s'éloigne très clairement. C'est un choix politique et économique, un tournant que le gouvernement nommé par François Hollande n'aurait probablement pas assumé à cette hauteur n'était la déculottée des élections municipales. Qu'il va désormais lui falloir porter aussi sur la scène européenne et, pourquoi pas, en faire un argument de campagne dans les élections européennes à venir. (lire)
Valls tente un plan de relance qui reste à financer: c'est un plan de relance qui ne dit pas son nom. Un ensemble de mesures fiscales destinées à soutenir les entreprises, les embauches et le pouvoir d'achat – tirant les leçons des municipales catastrophiques pour le PS. (lire)
Collectivités locales: le virage à 180 degrés de Manuel Valls. En 2008, le Parti socialiste avait vigoureusement refusé la proposition de l’UMP de supprimer les départements et de les fondre dans les régions, découlant des travaux de la commission Balladur. (lire)
Européennes: UMP et FN dans un mouchoir de poche, le PS distancé. A cela, deux grandes raisons : le rejet de François Hollande, notamment par les catégories populaires, mais aussi et peut-être surtout, le rejet de plus en plus fort de l’Europe par l’ensemble de l’électorat. (lire)
La crise ukrainienne n'a fait que commencer: d’éventuels pourparlers entre l’Ukraine, la Russie et les Occidentaux sont en discussions mais Moscou exige que l’Ukraine orientale y soit représentée en tant que telle, une condition qui consacrerait l’éclatement de ce pays. (lire)
«My Sweet Pepperland» : Il était une fois dans l’est. C’est un fait : le western est avant tout une question de territoire. Et il n’y a aucune raison pour qu’un désert paumé, bourré de rocailles, d’arbres faméliques et d’hommes à cheval, même s’il se situe aux confins du Kurdistan, ne fasse pas l’affaire. My Sweet Pepperland s’amuse de toutes les conventions, de tous les clichés, les contournant et se les appropriant, revisitant l’éternel mythe de la naissance d’une nation au cœur d’un territoire secret, ignoré ou presque par le cinéma. (lire)
La bande annonce en cliquant sur l'image.
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