> Crise

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> La salle de presse: 09.04

Pêcheur lançant son filet à Rangoun, Myanmar. Stringer / reuters

> Austérité : des milliers de manifestants défilent ce jeudi à l'appel de la CGT, de FO, de la FSU, et de Solidaires, «contre l'austérité, pour les salaires, les services publics, l'emploi, la protection sociale». (lire)

> Pour 1,4 milliard d'euros, Valls ressoude le PS et relance l'investissement: les aubrystes applaudissent enfin. La maire de Lille joue l’apaisement, elle ne déposerait pas de motion pour le congrès. S'ajoutent les rumeurs d'entrée au gouvernement de certains amis de l'ancienne première secrétaire. (lire)

> Hollande sur Valls: "Quelquefois il faut apprendre à faire ce pour quoi on a été nommé". (lire)

> Congrès du PS: le « bon coup » de l'aile gauche qui « n'était pas joué d'avance » et ne laisse pas présager d'un congrès facile pour la majorité. (lire)

> Hollande: "l'homme de la synthèse" s'active pour 2017. Le chef de l’État veut se servir des élections régionales pour recoller les morceaux à gauche. (lire)

> Plutôt que la circulation alternée, Ségolène Royal plaide pour des bus et taxis électriques: " l'important est de mener toute l'année des politiques de «villes respirables» car on ne peut pas vivre tout le temps sous l'épée de Damoclès de la circulation alternée." (lire)



> «La gauche doit être visible sur la lutte contre le racisme»: la présidente de la Commission nationale consultative des droits de l'homme décrit une France de plus en plus crispée par l'immigration ou l'expression des religions. (lire)


> Toujours la même musique à Radio France: dans cette situation de blocage, toute la Maison ronde a plus que jamais les yeux tournés vers la rue de Valois. (lire)

> A Moscou, Alexis Tsipras se félicite du « printemps » des relations gréco-russes. (lire)

> États-Unis: combien de Noirs meurent sous les balles des policiers? Derrière certaines affaires médiatisées, de nombreuses autres se cachent sans qu'aucun fichier national ne les recense officiellement. (lire)

> Velázquez: témoin de la grande histoire ou chroniqueur du quotidien, peintre de cour, portraitiste du pape Innocent X et du roi Philippe IV, comme des plus humbles, Velázquez, le maître du clair-obscur, ne poursuivait qu'une seule quête : débusquer la vérité des êtres. Velázquez est enfin sacré au Grand Palais. L'exposition évoque, après ses voyages et commandes en dehors du foyer espagnol, en Italie, à Rome et Naples, l'ascension du peintre des Ménines et de la Vénus à son miroir. (lire)

Jusqu'au 13 juillet 2015. Galeries nationales du Grand Palais - Paris