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21 février 2011

Général/Particulier

C'est bien de reconnaitre ses erreurs, de faire son travail en ne pensant qu'à ça. Mais serait-ce trop demander à notre personnel politique de le faire bien, dans l'intérêt de tous et non en s'en tenant à une doctrine ou aux intérêts particulier de clans ou de lobbys?

La suite ici

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(rodho)

17 février 2011

Ségolène Royal, seule socialiste à faire campagne ?

A la différence des autres candidats qui attendent sans doute le printemps,Ségolène Royal n’a jamais ménagé ses efforts. Reconnaissons-lui au moins deux grandes qualités : la pugnacité et la persévérance. Là où d’autres auraient baissé les bras, elle n’a jamais rien lâché. Elle dispose toujours d’un réseau de militants qui lui sont restés fidèles. Les départs de David Assouline, de Gérard Collomb, de François Rebsamem, d’Arnaud Montebourg, de Manuel Valls, de Vincent Peillon, d’Arnaud Montebourg, de Patrick Mennucci, d’Aurélie Filippetti entre autres, les hésitations de Jean-Louis Bianco sont, peut-être, la meilleure chose qui lui soit arrivée, l’obligeant à refondre totalement sa stratégie. Organisant, grâce à son réseau Désirs d’avenir,  des universités populaires participatives de grande qualité, elle a fait le choix d’aller à la rencontre des Français et, aussi, par ses voyages à l’étranger, de confronter son projet à d’autres expériences. Au cas où elle serait désignée au cours des primaires de l’automne prochain, elle ne refera pas l’erreur de s’appuyer sur un parti dont une grande majorité de cadres avaient donné consigne de ne pas faire campagne pour elle en 2007.

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